Surprise pour papa Dean (Pv Dean)

Aujourd'hui je passais la journée avec maman Carole car papa Dean travaillait. Au départ ce n'était pas si simple car je n'avais confiance qu'en Dean et Williams et que je n'acceptais pas le contact de Carole. Mais très vite, elle avait su s'y prendre avec moi. Elle m'avait posé les bonnes questions, et elle attendait toujours que je fasse moi même le premier pas.

Quand je me suis réveillée papa Dean était déjà partit pour le travail, je descendis dans le salon et coloria un peu. Enfin plutôt dessiner... C'était toujours les mêmes dessins : celui du meurtre. Il n'avait que ça pour le moment pour faire avancer l'enquête. Vu que je refusais de parler et que je ne voulais pas leur montrer que je savais écrire, les blouses bleues (les policiers) n'avaient pas grand chose. C'est alors que Carole arriva et me parla, je ne voulais pas parler au départ, puis j'avais fini par essayer et finalement j'avais finit par pleurer. Elle m'avait prit dans ses bras, et j'avais accepté son contact. Après ce moment je ne voulais plus quitter ses bras. Nous avions mangé et je l'ai aidé toujours dans ses bras. J'avais prit mon bain ou j'avais joué avec elle, j'avais même rit c'était la première fois qu'on m'entendait. C'est là que j'ai commencé à communiquer en écrivant.

Il faisait relativement bon dehors, Carole m'avait proposé d'aller dans la piscine pour m'apprendre à nager j'avais accepter. Mais avant elle m'avait aidé à me mettre mon maillot, elle m'avait mit de la crême et je lui en avais mit. J'avais passé la matinée à la piscine et l'après midi j'avais fait la sieste avec maman dans le lit jusqu'au soir. Jusque quand maman avait du faire le repas du soir ou là j'avais encore aider avec la table. J'étais dans la cuisine quand j'entendis du bruit, tout d'abord je paniquais mais maman me dit que c'était papa Dean... Elle me descendis de la chaise, et je commençai à courir vers la porte d'entrée en appelant...

"Papa Dean !!!"

Je courrais dans sa direction jusqu'au moment où je le vis et lui sautais dans les bras. Il n'avait pas rêvé, j'avais bien parler Je voulais l'ennuyer un peu donc après ça je ne dirai plus rien. Une chose était certaine c'est que j'avais fait de gros progrès car avant je ne parlais pas et je refusais le contact. Hors là je lui parlais, pas beaucoup mais je disais quelque chose et surtout je cherchais moi-même le contact

Cet semaine s'était la semaine ou je commençais mes journées à six heures. Etant donné que s'était assez tôt ,je ne voyais pas la petite avant de partir. Je me contentais juste de déposer un baiser sur le front de Carole allant ensuite dans la chambre de la petite lui déposer à elle aussi un baiser sur le front. Une fois que j'eu dis aurevoir au femme de ma vie ,je descendis à la cuisine me faisant une tasse de café tout en me préparant. J'alla dans la machine à laver rechercher un de mes t shirt de secouriste que j'enfila assez vite. Je laça alors mes botine avant d'enfiler ma veste de travaille et de boire mon café.

Quand je fus prêt je partis faire ma journée au centre de secour. Ne croyez pas que par ce que je travaille je ne pense pas à mes femmes se ne serait pas vrai. Je parle souvent d'elles à mes collègues et tous sont très intéressé par la petite. Beaucoup d'entre eux me demande chaque jours comment elle va. Le soucis c'est qu'à ce genre de question je ne peux pas y répondre car la petite parle pas et c'est dure de savoir si oui ou non elle va bien.

Après plus de quatre interventions de la journées ,je vis ma journée s'achever. Je récupéra ma veste qui se trouvait sur le dossier de la chaise de ma collègue avant de partir en prenant la jeep du boulot. Je pris la direction de la maison ou là une fois arrivé devant je me gara sur mon parking en face de mon garage avant de descendre et de verrouiller le véhicule.. Y'a pas de voleur mais on ne sait jamais ,surtout qu'il y'a pour pas de fric la dedans. Je pris ma veste d'une main et d el'autre mon sac en me dirigeant vers ma porte d'entrée. j'eu à peine ouvert la porte que je vis la petite arrivé. Ce que j'entendis ensuite m'étonna vraiment. La petite avait parler pour la première et elle venait de me dire papa. De joie je lâcha les affaires que j'avais en mains et la rattrappa la serrant doucement dans mes bras en disant:

- Ma princesse! Mais tu parle?

J'étais heureu de l'avoir enfin entendu parler ,c'est la preuve que le temps fait qu'elle aille un peu mieux. Je sais que c'est beaucoup grâce à Carole car elle prend beaucoup de sont temps pour la petite.

- Elle est ou maman??

Cette semaine papa commençait tous les jours à 6h du matin, donc il se levait beaucoup plus tot. Il venait embrasser maman puis il venait dans ma chambre pour m'embrasser. Je le savais je le sentais... Mais je ne me réveillais pas. Si ça venait à arriver, je restais dans mon lit silencieusement. Mais c'était rare. Aujourd'hui en tout cas, je me suis pas réveillée.

Lorsque papa était de retour il parlait souvent avec maman. J'avais entendu que ces collègues demandaient souvent de mes nouvelles, mais qu'il ne pouvait pas y répondre vu que je ne parlais toujours pas. Enfin je donnais quelques sourires et parfois je demandais quelques câlin, ce qui voulait dire que j'étais dans mes bons jours. Parfois je pleurais, je restais dans mon coin et c'était mes mauvais jours. Mon non verbal disait beaucoup de chose donc il pouvait savoir plus ou moins si j'allais bien ou pas.

J'avais entendu la voiture, je ne la reconnaissais pas encore donc j'avais peur. Mes tres vite maman me rassura que c'était papa. Une fois sur que c'était lui j'allais dans sa direction, maman avait raison c'était bel et bien lui. Je souris en courant dans ses bras tout en disant "papa Dean" c'était la première fois qu'il m'entendait parler. Il lâcha ses affaires et me rattrapa. Je ne sais pas s'il était content que je parle... Il me posa des questions je le regardais et lui dit :

"Oui..."

J'avais du mal à voir qu'il était heureux que je parle et que je l'appelle papa Dean. Je baissais un peu le regard et lui demanda d'une petite voix toujours en ne le regardant pas :

"Tu es content que je reparle ? Tu es fâché si je... je t'appelle papa... Papa Dean... ? Maman est d'accord pour que je l'appelle comme ça... Mais toi tu ne veux peut-être pas"

Le temps faisait des miracles, j'avais enfin parlé. C'était grâce à maman que je reparlais mais aussi à Williams et Dean. Car sans l'amour de Dean mais aussi ce qu'il dégage moi : un sentiment de grande sécurité. Je n'aurais pas pu sortir de ma torpeur. je voulais rester dans ses bras le reste de la soirée c'est ce que je faisais toujours quand j'étais bien. Je restais l'après midi avec Carole comme papa n'était pas là et quand il rentrait je passais plus de temps avec lui. Et souvent c'était lui qui me mettait au lit. C'est alors qu'il me demanda ou était maman. Je regardais dans la direction de la cuisine et lui dit ce n'était pas maintenant que je déciderai de ne plus parler pour l'embêter...

"Elle est dans la cuisine..."

Une fois dit, je regardais papa... Je pris une grande respiration, même à l'évocation du meurtre j'étais mal... Les larmes me montaient aux yeux. Je lui dis toute de même car il fallait pas qu'il se fasse de mauvaises idées...

"Je reparle... Mais je veux pas encore répondre aux questions du meurtre de papa... je veux pas aller voir les blouses bleues. je suis pas prête... je ne veux pas..."

Commencer mes journées plus tôt ne me déplaisais pas. Au moins je savais que j'allais rentrer plus tôt et pouvoir profiter un peu plus de ma petite famille. Car oui ,pour moi la petite et Carole formons une jolie petite famille. C'est sans doute la meilleur des choses qu'il me soit arrivé dans ma vie. D'abord la rencontre de Carole et ensuite celle de la petite. S'est pour ça que chaque matin je ne peux m’empêcher d'aller les embrasser avant de partir. Peut être pour m'assurer qu'elles ne sont pas un rêve qui sait?

Quand on me posait des question sur la petite je me contentais de répondre qu'elle allait bien ou pas suivant l'humeur de la veille. Quand je travaille la nuit je peux me baser sur son humeur du jour mais pas en travaillant très tôt comme cet semaine. C'est vrai que ses rires ou pleures peuvent en dire beaucoup sur sont moral du moment. J'aime énormément l'entendre rire même si ça n'arrive pas encore très très souvent. J'espère qu'un jour les pleures laisseront beaucoup plus de place au rires ,car ça voudrais dire qu'elle se sentira bien parmi nous.

Rentrant dans la maison ,j'aperçus la petite courir vers moi. Je lâcha alors mes affaires sur le sol la prenant dans mes bras pour un petit câlin. J'étais assez étonné de l'entendre parler car s'était la première fois que je pouvais entendre le son de sa voix. Pendant un moment je m'étais même demandé si elle n'était pas muette mais ses pleures me prouvait bien le contraire..Alors oui je suis très content de l'entendre enfin reparler.

A ses questions je fit un grand sourire avant de déposer un baiser sur sa joue pour la rassurée avant de répondre doucement.

- Oh ben oui que je suis content..Je suis même très content de pouvoir enfin entendre ta petite voix. Non je ne serais pas fâché.. Appelle moi comme tu veux ma princesse..Et puis je serais très fière si tu m'appelais comme ça ,car avoir une petite fille comme toi c'est le plus belle des choses qui pouvait m'arriver.

Je garda la petite tout contre moi lui faisant un grand sourire en lui disant que j'étais fière d'avoir une petite fille comme elle dans ma vie. J'aimais vraiment passer du temps avec elle ,ça n'arrivait pas souvent mais dés que j'en avais l'occasion j'en profitais. Jouer avec elle ,lui parler même si elle ne me répondait pas..Notre petit jeu de grimace que nous avons inventé tout les deux était devenu notre meilleur façon de se comprendre..Mais maintenant qu'elle parle on va pouvoir faire encore plus de chose elle est moi ,plus de petit jeux. Je vis la petite regarder vers la cuisine et fis:

- D'accord,vous avez passé une bonne journée ,toutes les deux??

Je souris en regardant la petite mais sont visage venait de se changer en à peine une second. D'une petite fille souriante elle est passé à une petite fille qui faisait la moue..En cet instant j'espérais juste ne pas avoir dis de bêtises mais lorsqu'elle se remit à parler je compris très vite sont mal aise. Je m'avança avec elle jusqu'au salon et m'installa dans le fauteuil en la prenant tout contre moi.

- T'inquiète pas princesse ,je comprend!! On ira pas voir les blouse bleu tant que tu ne sera pas prête,d'accord?? On ira les voir quand toi tu le demandera.

Je l'enlace doucement de mes deux bras avant de déposer un baiser sur sont front comme pour la rassurée.

Le matin je ne voyais pas papa, mais ce n'était pas trop grave. Je préférais quand il faisait le matin. Car il rentrait plus tôt à la maison et donc je pouvais passer le reste de la journée avec lui. Quand il faisait l'après midi ou le soir, je ne pouvais pas en profiter pleinement... Mais ce que je préférais le plus c'était quand il avait congé car là c'était toute une journée qu'il passait avec moi... Mais c'était rare... Il était comme papa finalement. Mais pas tout à fait...

Je reparlais mais papa n'était pas au courant, là il pourrait le faire car je parlerai tout le temps, même dans mes moments les plus noirs je pourrai dire ce qu'il se passe. Et ils pourront mieux répondre à mes envies et mes attentes. Puis je pourrai leur parler du meurtre mais seulement lorsque j'en aurai envie et c'est clair que ce ne serait pas aujourd'hui. Car j'avais déjà donné pas mal d'information à maman. Puis papa pourra dire à ses collègues si je vais mieux ou pas. Il aura plus facile... Et je ne suis pas quelqu'un qui ment...

Quand papa rentra dans la maison j'étais tellement heureuse de le voir, c'était la première fois que je parlais, et une des premières que je cherchais le contact. J'étais maintenant dans ses bras et je le serrai fort, ne voulant plus le lâcher mais j'avais tellement peur qu'il ne soit pas content ou qu'il refuse que je l'appelle papa Dean. C'est pour ça que je lui posais toutes les questions. C'est avec un grand sourire et un baiser sur ma joue qu'il me répondit qu'il l'était et que ça ne le dérangerai pas et qu'il se fâcherait pas, cela me rassurais. Je souris doucement continuant à le regarder puis je finis par faire un bisou sur sa joue... Je l'aimais tellement mon papa Dean...

Il me gardait contre lui en souriant et heureusement je ne voulais pas partir, je voulais profiter de papa et de notre jeu de grimace, mais là je pourrai parler donc le jeu deviendra un peu plus intéressant puis on pourra jouer avec d'autre jeux, c'est alors qu'il me posa une question. Je lui souris et lui dit :

"Oui J'ai prit mon petit déjeuner avec elle, puis mon bain, nous avons été dans la piscine aussi, elle m'a apprit un peu à nager. Demain est ce que je pourrai te montrer comme je nage ? Mais faudra rester près de moi. Je n'aime pas qu'on soit loin de moi quand je nage... Puis j'ai fait une sieste et j'ai rencontré mamy..."

Il souriait, je lui disais ma journée, passant le moment ou j'avais raconté une partie du meurtre, enfin surtout les caractéristiques des personnes que j'avais vue. Je ne voulais pas en reparler tout de suite donc je lui en parlais assez vite. On se retrouva dans le salon et il s'installa dans le fauteuil, j'étais toujours dans ses bras tout contre lui, c'est doucement qu'il m'enlaça dans ses deux bras avant de me donner un bisou sur le front. Il me rassura avec les blouses bleues. Au moins je savais que je n'irai pas tout de suite ni avec maman, ni avec papa Dean... Je le regardais et lui dit dans le blanc des yeux :

"J'en ai parlé à maman, j'ai su dire comment les messieurs étaient, mais je ne veux pas répéter. Tu pourras demander à maman si tu veux... Mais pas à moi... D'accord ? Tu m'en veux pas ?"

Je le regardais dans les yeux puis reposa ma tête contre lui. Je ne parlerai plus de ça pour le moment, on verra bien demain... J'espérais juste que papa ne m'en veuille pas.