Rencontre au centre commercial (pv Patrick)

Patrick s'était levé de bonne heure ce matin. Il commençait sa journée à 7 h00 au CBI , mais n'aimant pas arriver en retard il se leva plus tôt afin d'être à l'aise pour déjeuner. alors qu'il voulu prendre de quoi faire un café ,il s'aperçut que ses armoires étaient vides. Cet fois il n'a pas d'autre choix que de faire les courses. Il n'aime pas trop ça ,mais il n'a pas le choix.

Il but sa tasse de café et partit ensuite au CBI. Arrivé la bas il vit Lisbonne et demanda à cette dernière si elle avait besoin de lui de site. Lisbonne lui fit non de la tête et c'est donc avec un sourire qu'il dit à cet dernière qu'il part faire les courses.

Un quart d'heure de route plus tard ,il se trouva enfin au centre commercial. Il prit un caddie à l'entrée du magasin et entra en essayant de se frayer un chemin entre tous les gens présent. C'est bien par ce qu'il y'a trop de personnes qu'il n'aime pas les boutiques. Il passa par le rayon légumes et se servi en tomates, chicon et salades avant de partir en direction des rayon conserve. En entrant dans le rayon il vit une jeune femme peiner à attraper sa boîte à conserve. Il laissa donc sont caddie de côté et avança vers le vendeur en disant:

- Votre lacet et défait monsieur..

L'homme se baissa pour regarder et s'enleva du tabouret pour refaire sont lacet. Pat profita de cet instant pour prendre le tabouret et le poser devant la jeune femme sautant dessus pour lui prendre sa conserve avant de lui tendre dans un grand sourire. C'est là qu'il reconnu la jeune femme de l'hôpital qui ne le laissait pas si indifférents.

- Vous?? Si je m'attendez à vous voir ici je serez venu plus tôt et avec le sourire..Tenez..Vous voulez autre chose??

Patrick prit quelques minutes de plus au bureau afin de pouvoir prendre les commandes de ses collègues. Enfin pas tous ses collègues mais les trois plus proche seulement. Après avoir tous bien noté il se mit à lire et relire sa liste afin de pouvoir l'enregistrer au cas ou il viendrais à l'oublier.. Ben il est mentalist mais ça lui arrive d'être tête en l'air quand même lol.

Soit,arrivé au magasin il commença par faire ses courses commençant par les rayon légumes et fruits. Là il lui faut toujours assez bien de temps car il regarde chaque légumes avec attention pour être sure de ne pas en prendre un mauvais..Ben oui,c'est pas bon les légumes dépassé non plus lol. Une fois ses légumes choisis il passa de rayon en rayon prenant chaque affaires en suivant sa liste..Passant dans le rayon bébé ,il prit une tétine juste pour faire une farce à Lisbonne ,qui depuis une semaine n'arrête pas de râler sur tous..Pourquoi la tétine?? Par ce que Pat n'arrête pas de lui dire qu'elle est enceinte mais elle ne le croit pas..

Il passa ensuite dans le rayon conserve ou là il vit la jeune femme en difficulté. Piquant alors le tabouret au marchand il aida cet dernière à prendre sa boîte avant de lui demander si elle ne veut rien d'autre. Comme sa réponse fut négative ,il porta le tabouret à l'homme en souriant en disant:

- Merci pour le prêt du tabouret!

- J'ai pas eu fort le choix,vous l'avez prit..

La réponse du vendeur fit rire l'homme qui retourna prêt de la jeune femme avec un grand sourire en l'entendant bafouiller..Non il ne riait pas d'elle il trouvait juste ça mignon de la voir perdre ses moyen face à lui. Il lui tendit alors la main doucement en disant:

- Je vous en prie y'a pas de dérangement..Appelez moi Patrick je préfère ,monsieur ça fait trop sérieux..

Il prit les boîtes dont il avait besoin avant de regarder la jeune femme avec un léger sourire en disant.

- Vous savez faut pas avoir peur de demander de l'aide,ça ne vous rendre pas plus faible pour autant..Je suis un homme est ça m'arrive de demander de l'aide.

Ils étaient dans l'allée, Isabel tenant encore bêtement ses boites de conserve que lui avait donné l'homme qu'elle aimait en secret. Il avait prit une tétine, heureusement Isabel ne l'avait pas vue car elle aurait pu penser que c'était peine perdue avec lui, qu'il avait déjà une compagne, peut-être une femme. Enfin si elle commençait à douter la dessus, elle n'en finirait pas, et son moral descendrait en flèche, elle préférait ne pas y penser.

L'homme voulu encore l'aider, mais elle refusa son aide, pour elle, qu'il l'aide une fois c'était déjà beaucoup trop... C'est alors qu'elle retourna vers le marchant, Isabel comprit qu'elle avait surement fait une bêtise, en disant non, elle n'aurait plus du tout de contact. Elle entendit les paroles du vendeur ce qui la fit énormément sourire, et un petit rire s'échappa de sa bouche, mais seulement pendant quelques secondes. Elle entendit alors le rire de Patrick, cela la fit rougir un peu plus, elle aimait beaucoup ce rire. Mais elle se tut.

Il revient vers elle avec un grand sourire, non seulement elle bafouillait mais elle était comme ses tomates, rouge... Il rigolait, elle savait que c'était de la réponse de l'homme qu'il rigolait et non d'elle. Il tendit la main doucement. Elle regarda un instant le geste de Patrick, puis elle serra sa main, elle n'était pas du tout sur d'elle. Lorsqu'il dit qu'il n'y avait pas de dérangement, elle sourit, sa peau était encore rouge. Puis il voulait qu'elle l'appelle Patrick, elle lui dit alors :

"Vous avez surement des choses plus importantes que moi aujourd'hui. Votre travail surement... D'accord Patrick, vous pouvez m'appeler Isabel."

Elle le vit prendre des boites, il prenait les mêmes qu'elle et cela la fit sourire intérieurement. Il sourit légèrement et lui parla. ce qu'il dit la mit quelque peu mal à l'aise, mais pas pour longtemps, elle avait un peu oublier qu'il était mentaliste et qu'il sentait les choses. Elle ne savait plus quoi dire. Joanne lui avait dit la même chose quelques mois avant, même quelques années. Mais le fait qu'il lui dise qu'il demandait parfois de l'aide alors que c'était un homme, la rassura... Elle sourit et lui répondit d'une voix douce.

"Je n'ai pas peur, c'est juste que ce n'est pas dans mes habitudes de demander de l'aide. Pour moi, je suis faible quand je demande de l'aide." Vous n'êtes pas faible vous, vous êtes fort, comme tous les policiers et autres collègues avec qui vous travaillez"

Lorsqu'il revint d'avoir ramener le tabouret à l'homme il se secoua doucement se disant qu'il était quand même sans gêne pour piquer les affaires des gens ainsi. en même temps il les piques mais il les ramènent très vite aussi. L'homme n'avait pas l'air d'avoir prit ça méchamment et encore heureux d'ailleurs. Puis la personnalité de Pat fait souvent que les gens savent qu'il ne fait pas les choses méchamment mais juste par plaisanterie ou bien par besoin.

Soit ,il revient vers la jeune femme avec un magnifique sourire tout en regardant cet dernière avec attention. il la trouvait vraiment pas mal comme jeune femme et surtout il savait à quel point ça pouvait être un très très bon médecin. Bon ,il ne s'est encore jamais fait soigner la bas mais il sait qu'un jours si il à besoin il n'hésitera pas à aller la voir.

Il aimait assez de la voir de cet couleur là lol. Jamais encore il n'avait fait tel effet à une femme et jamais encore il n'avait réussi à en faire bafouiller une juste par sa présence. Regardant alors la jeune femme dans les yeux doucement il tendit sa main afin de la saluer saluant ainsi doucement sa main à elle. Secouant doucement la tête à ce que la jeune femme dit il répond toujours avec un magnifique sourire.

- Je vous assure que je n'ai pas de chose plus intéressante à faire. Le travail pourra attendre et puis il n'ont pas toujours besoin de moi.. D'accord Isabel.

Il prit ensuite ses boîtes posant ces dernières dans sont caddie avant de regarder de nouveau la jeune femme. Il avança un peu avec elle dans le rayon continuant quand même à faire ses courses avant de la regarder en lui disant qu'elle ne devait pas avoir peur de demander de l'aide ,car même lui en étant un homme il le faisait aussi. Ben oui ,il sait ce qu'elle pense ou du moins il le devine.. Regarder une personne et savoir à quoi celle-ci pense n'est rien d'extraordinaire pour lui puisque c'est sont quotidien. Souriant doucement à ce que celle-ci dit il répondit .

- Je ne suis pas policier..Je suis consultant .. Moi je ne vous trouve pas faible. Car voir des gens arriver en sang ,avec des fractures et tout ça c'est dure à voir et pourtant c'est ce que vous faite non?? Je vous assure ,un pour ou l'autre on fini toujours par avoir besoin d'aide..Puis si je vous propose mon aide ,ce n'est pas par ce que je vous trouve faible loin de là..C'est juste par galanterie.

Il rit doucement de sa phrase prenant les derniers conserves dont il à besoin.

Patrick ne se préoccupa même pas de savoir se que le vendeur pouvait penser à ce moment. Puis il avait prit son tabouret avec plaisanterie ,c'est pas comme si il lui avait volé pour partir de l'autre côté du magasin avec. Revenant vers la jeune femme il lui sourit ,la voyant un peu plus à l'aise avec lui. Plus les second passait ,plus il pouvait sentir le stress de la jeune femme diminuer . C'est bien la preuve qu'il n'est pas mauvais et qu'il sait mette facilement les gens en confiance.

Il admira le sourire de la jeune femme lui souriant doucement à sont tour. Même si il devinait ce que la jeune femme pouvait ressentir pour lui ,il ne se permettrait jamais de le lui dire. Il ne voudrais surtout pas la mettre mal à l'aise et puis la façon d'être de la jeune femme quand il est là lui plait énormément. Il ne changerait pas d'avis si elle venait à tout lui dire. Elle restera toujours la même pour lui et peut être même plus. C'est difficile pour lui de faire le deuil de sa femme et de sa fille mais en compagnie de Isabel il en oublie même sa tristesse.

Il lâcha la main de la jeune femme lui souriant toujours en admirant ses joues légèrement rougi. Lorsque la jeune femme croisa enfin sont regard il ne put que sourire bien plus en l'admirant un peu mieux. Le problème chez lui c'est qu'en regardant une personne dans les yeux il ne peut s'empêcher d'essayer de savoir à quoi elle pense. Il baissa alors le regard ,non pas par timidité mais par gêne car il ne voudrais pas qu'elle croit qu'il essaye de lire en elle comme i fait aux autres?

- C'est vrai ..On travail pas mal mais les policiers travail bien plus que moi. Je commence quand je veux et je termine quand je veux..Sauf si Lisbonne en a décidé autrement. C'est elle la chef ,faut pas la contrarié.

Il se mit à rire en mettant les boîtes dans sont caddie avançant ensuite doucement avec la jeune femme dans les autres rayon. ça le changeait assez d''avoir enfin quelqu'un avec qui faire les courses. Lui qui n'aime pas les courses en temps normal commence à adorer ça en ta compagnie. il hocha la tête en disant:

- Oui c'est vrai..Je les interroge même assez souvent ça m'aide un peu à savoir la vérité dans les mensonges qu'il peuvent dire. Je comprend ,je pense que je n'aimerais pas travailler dans ce genre d'endroit .. Travailler avec des gens vivant et les voir morts ensuite c'est bien trop dure.. La perte des enfants c'est affreux et ce l'est encore plus quand c'est le sien ,croyait moi..

C'est bien la première fois depuis la mort de sa fille et de sa femme qu'il ose enfin en parler à quelqu'un. D'une hochement de tête à sa question il fit:

- Oui bien sure . C'est avec plaisir même..Il m'en reste un peu à faire aussi.. Dans quel rayon voulez vous aller?

Grâce à sont talent de mentalist Patrick sait à qui il peut faire confiance ou non. il sait si quelqu'un est dangereux ou quand on se sert de lui. Sont premier point de vue envers la jeune femme c'est toujours révélé positif. Pour lui la jeune femme est quelqu'un de très généreuse ,bien dans sont travail mais malheureusement pas toujours aimé comme il se devrait par les hommes qu'elle à déjà pu avoir. Pour lui ce genre de femme mérite le bonheur bien plus qu'une autre. Elle est tellement gentille et serviable avec les malade qui se présente à elle. C'est peut être la femme à marier qui sait??

Le sourire de la jeune femme plaisait beaucoup à Patrick qui se surprenait même à lui sourire un peu plus que la normal. En cet instant il ne sait que trop quoi penser de tout ça..Il ne sait pas si il peut se permettre d'avoir des sentiments pour autre femme que sa défunt femme..Il sait que mal grès la mort de ceux qu'il aime il ne pourra pas vivre éternellement seul..Peut être qu'en se refusant tout amour il risque de perdre cet jeune femme qui à certainement tant de chose à lui apporter.

Baissant le regard afin de ne pas tout savoir sur elle ,par moment il se sentait mal de lire ainsi les pensées des gens. Normalement ça ne lui déplaît pas ,mais dans des moments comme celui - ci il s'en passerait bien. Lorsque la jeune femme prit la parole il releva doucement le regard dans le sien et dans un léger sourire d'excuse il fit:

- ça me rend mal de savoir lire ainsi en vous alors que vous vous ne savez rien de moi.. J'essaye de ne pas savoir ce qu'il se passe dans votre tête mais c'est incontrôlable désolé..

Il fit un magnifique sourire quand la jeune femme lui fit un compliment sur ses yeux. Celle ci rattrapait des couleurs que Patrick appréciait énormément. De la voir gênée ainsi en sa compagnie le fit sourire mais en même temps ça lui plaisait. Il lui dit ensuite que lui ne travaille pas autant que les policiers,ça lui arrive de faire des jours complet mais ça lui arrive aussi de travailler que deux heures par jours. En gros tout dépend de sont envie du jours. C'est vrai qu'en étant médecin on ne peut pas se permettre d'avoir n'importe qu'elle horaire.

- Oui c'est vrai j'ai beaucoup de chance.. Je peux faire un peu tous ce que je veux .. en gros tout dépend de la façon ou la chef c'est levé .. si elle est de bonne humeur elle me laisse tranquille ,si pas je l'ai souvent à dos mais j'aime bien ça. Vous êtes courageuse ,je ne me sentirais pas capable de faire tous ce que vous faite pour le bien des autres.

Il prit les dernières courses dont il avait besoin avant de sourire doucement à la jeune femme lui disant que c'est triste lorsque l'on perd un enfant et qu'on à vraiment du mal de s'en remettre. C'est vrai que de la façon ou il a dit ça on peut savoir qu'il sait ce que ça fait ,qu'il a vécut ça.. il n'aime pas trop en parler mais il arrive un moment ou on ne sait plus faire sans en parler. Il en dit mal grès tout pas plus car il ne voudrait pas ennuyer la jeune femme avec ça. Mais à ça réponse il ne put s'empêcher de dire.

- ça doit être dure de perdre des patients..Mais est ce que les premiers patients que l'on perd ne sont pas les plus dure à digérer?? Enfin je ne sais pas ce que ça fait que de perdre un patient ,mais je sais ce que c'est que de perdre un enfant.. J'ai perdu ma petite fille âgée de 6 ans et sa maman.. Ils ont toutes deux étaient tuées par ma faute..J'ai beaucoup de mal à vivre sans elles et chaque jours est un combat que je doit faire sur moi même.. Pour rester en vie je me suis donné comme objectif d'attraper l'homme qui les a tuées ..C'est pour ça que je fais partie du CBI depuis plus d'un an..

Il s'arrête un moment de parler soupirant doucement en baissant la tête avant de la redresser et de regarder la jeune femme en disant:

- Je suis désolé ,je n'aurais pas du vous dire tous ça..

La connerie qu'il vient de faire en dévoilant sa vie ainsi. il expert juste que sont lourd passé ne va pas faire fuir la jeune femme. Car lui ne le montre peut être pas mais derrière ses petits sourire se cache une grand admiration envers la jeune femme qui se trouve à ces côtés en ce moment.

Lorsqu'elle proposé de partir en direction de la crèmerie ,il hocha la tête en disant:

- Oui ,allons y.

Avec le jeune homme ce n'est certes pas ton boulot qui risque de lui faire peur. Etant consultant pour la police ça lui arrive aussi de travailler avec des horaires bizarre et donc de ne pas toujours être là non plus. Depuis la mort de sa femme il reste souvent en retrait avec les autres femmes. Non pas qu'il n'aimerais pas avoir une histoire ,mais il à cet peur de trahir sa femme même si celle-ci est décédée..C'est bête mais dans sa tête c'est ainsi que ça va.. enfin que ça allait car depuis sa rencontre avec Isabel il ne sait plus trop quoi pensé..La jeune femme lui fait tourner un peu la tête et c'est la première qu'une femme lui fait un tel effet juste en la regardant.

Depuis sa rencontre avec elle Patrick ne demande qu'à la connaître un peu plus. Il n'est pas du genre dragueur mais lorsqu'une personne lui plait il n'hésite pas à le lui faire comprendre. Soit par des sourire ou bien encore par des intentions assez comique. Bien sure qu'il accepterai d'être son ami mais pas sure qu'il accepterai d'être un coup d'un soir.. D'ailleurs il ne le fait pas avec n'importe qui et le jours ou ça arrivera ça voudra dire qu'il serait prêt à faire un bout de chemin avec toi.

Laissant sont regard posé sur ses affaires qui se trouvait dans le caddie il fit un léger sourire en entendant ce que la jeune femme venait de lui dire. Alors comme ça elle est un peu mentalist aussi à deviner si on va bien ou non.. Il leva alors le regard sur elle souriant doucement en disant:

- Je vais essayer de ne plus le faire..C'est justement vous mettre mal à l'aise que je ne veux pas. C'est vrai??Je ne l'avais même pas remarqué.. Vous observez les gens bien mieux que moi alors car moi il le remarque directement. Vous avez un petit côté mentalist aussi alors. Ce n'est rien ça change pour une fois que c'est moi qui se fait observer..

C'est assez difficile à savoir avec lui car il peut très bien cacher sont jeu et faire croire qu'il va bien alors que c'est tout l'inverse. Aujourd'hui il va plus tôt bien depuis sa rencontre avec la jeune femme. ça le change un peu de parler à quelqu'un de nouveau et de pouvoir parler autre que boulot. Il secoua la tête en riant de ce que tu dis avant d'ajouter.

- Non pas souvent mais avec moi oui..J'arrive souvent à la faire sourire mais quand elle ne veut pas. C'est vrai? Vous êtes chef?? ça doit être beaucoup de responsabilité. Oui ,j'aime assez bien l'avoir sur le dos car en faite ce que je préfère chez elle c'est quand elle râle ,elle est assez comique à voir. Puis il n'y a qu'avec moi qu'elle râle ainsi ,y 'a pour croire que c'est moi qui l'énerve.

En parlant de perdre un enfant sa touchait assez Patrick qui venait de vivre ce genre de malheur. Même après tout se temps il n'arrive pas à oublier et sa peine reste toujours la même. Personne ne pourra remplacer ceux qu'il à perdu ,il le sait mais en même temps il sait que la vie doit continuer peut importe la douleurs qu'il ressent. Si il t'en parle aujourd'hui c'est peut être par ce que justement à confiance en toi et qu'il à besoin de savoir si sont passé ne va pas te fuir toi aussi. il à perdu beaucoup d'ami depuis ça ,puisque pour eux c'est de la faute Patrick ce qu'il s'est passé. Ils n'ont pas tord mais en même temps ça n'aide pas le jeune homme à se sentir mieux.

- Non..Non j'ai pas tout fait.. J'étais parti travailler ce jour là et quand je suis revenu je les ai trouvé toutes les deux mortes.. Il les avaient poignarder pour me faire payer de l'avoir embobiner.. Une prédiction mal interprété et j'ai tout perdu. J'aurais préféré qu'il me tue moi plutôt que ma femme et ma fille qui n'avaient rien avoir la dedans. Si je l'aurais? Bien sure que je l'aurais et je continuerais à me battre pour l'avoir!! Par contre je ne promet pas de le laisser vivre si je le retrouve.

Il n'est pas violent en temps normal mais il sait que si il tombe un jour sur ce type il ne pourra pas s'empêcher de le faire souffrir tout comme lui à fait souffrir sa famille en les poignardant. Baissant les yeux il soupir doucement avant de la regarder et de la voir s'approcher. A sa main qui venait de se poser sur sa joue il en ressenti comme de léger frissons. Peut être qu'il n'aurait pas du lui dire tout ça mais après tout si ça devait aller plus entre eux autant mieux qu'elle sache la vérité directement.

- C'est gentil mais je ne voudrais pas vous déranger avec mes histoires. Je crois que vous aurez certainement plus important à faire que de répondre à un homme fou comme moi non??

Mal grès sa tristesse il essaye de rester joyeux en disant quelques bêtises mais là c'est assez dure. Il la regarda doucement dans les yeux avant de sentir celle-ci enlever sa main. A se contacte brisé il sourit doucement avant d'entendre la jeune femme reprendre la parole.

- Non ça ne l'était pas..S'était gentil de votre part de me réconforter..

Il fit un léger sourire allant avec elle dans le rayon crèmerie. Depuis se contact avec elle il avait l'impression qu'elle en était devenu ma à l'aise. Il poussa alors un peu son caddie avant d'aller vers la jeune femme et d'attraper un de ses bras doucement pour la tourner vers lui. Il lui fit un magnifique sourire en disant:

- Accepteriez vous de dîner avec moi ce soir??

Le boulot de médecin n'aurait pas vraiment plu à Patrick. Déjà pour la souffrance des gens qu'il n'aurait pas su gérer mais aussi pour les horaire et le faite d'être toujours enfermé. il n'aime pas vraiment rester enfermé plus de 2 heures dans le même endroit. Il a souvent besoin de bouger ,de prendre l'air et en tant que médecin on à pas souvent cet occasion. Il la trouve d'autant plus courageuse de travailler aussi avec des enfants. Elle aime vraiment sont boulot et ça lui il le voit. Il voit aussi mal grès tout que c'est quelqu'un de très loyal et qui sait faire la part des choses. Elle est pareil que sa première femme et ça ça lui plait vraiment.

Pour l'homosexualité de sa soeur il est déjà au courant. ça ne le fait pas fuir ,la preuve il est encore prêt de la jeune femme actuellement alors qu'il sait depuis longtemps que sa soeur n'est pas hétéro. Il n'a rien contre les homosexuel ,du moment que la personne est heureuse c'est le principal. Puis pour Patrick même si il viendrait à se mettre avec la jeune femme il ne vit pas avec sa soeur donc il ne voit pas en quoi sa pourrais déranger. Chacun à sa façon de vivre ,le principal c'est d'être bien avec celui qu'on aime.

Depuis qu'il était en sa compagnie il ne pouvait pas faire autrement que de sourire un peu plus à chaque second qui passait. Lui depuis la mort de sa femme il n'a plus jamais fait la chose. Étrange pour un homme me direz vous. Mais pas pour Patrick. Il n'aime pas aller voir ailleurs et coucher avec n'importe qui. Pour lui se genre de chose se fait vraiment si on aime la personne. Même avec Lisbonne il n'a jamais pensé à le faire pourtant la jeune femme n'est pas laide non plus. Il a besoin avant tout de sentiments avant de le faire ,se qui devrait te ravir dans un sens.

Il écouta alors la jeune femme répondre à ce qu'il venait de demander. Elle ,elle ne se pensait pas mentalist mais dans un sens c'est ce qu'elle était puisqu'elle pouvait deviner comment allait les gens et ça très peu de médecin savent le faire. Posant le regard sur elle ,il fit.

- Je sais déjà assez bien sur vous et je ne pense pas vouloir en savoir plus en lisant en vous ainsi. J'aimerais en savoir plus en vous écoutant me dire qui vous êtes vraiment. Je ne veux pas jouer au mentalist avec vous ,vous méritez bien qu'une simple lecture de votre pensé croyait moi. Vous avez raison ,je suis en bonne santé mais assez fatigué..Mais nuits sont un peu perturbé de ces temps ci ,mais ça va passer.

Oui ,avec elle il n'arrivait pas vraiment à mentir. pourquoi? il en sait rien! Ilk se sent juste incapable de lui mentir c'est tout. Il était en bonne santé mais il dormait très peu. Il fait souvent des cauchemars qui lui faisait revoir la scène dans la quel il la retrouvé sa femme et sa fille. Il rit doucement à ce que tu dis avant de répondre:

- Non elle est tout l'inverse de vous.. Elle râle souvent et c'est souvent en me voyant qu'elle redevient de bonne humeur.. En faite tout dépend des jours ,il y'a des moments ou elle peut me voir d'autre ou elle préfère que je reste loin d'elle. C'est moi qui lui tape sur le système j'en suis sure. D'ailleurs mes deux autres collègues ne se gêne pas pour me le dire..Puis je prend plaisir à la faire râler aussi.. Je peux être chiant quand je m'y met ,je vous assure. Wouaw hé bien ,se n'est pas rien quand même d'être chef de traumatologie ,bravo. C'est sure qu'avec une bonne équipe on avance mieux et sans problème. Merci ,mais je ne suis peut être pas aussi bien que ça..Vous vous êtes quelqu'un de bien ,moi je suis chiant..Et fière de l'être.

Il espérait bien ne pas te faire pitié car jusqu'à maintenant il s'est battu afin que les autres ne prenne pas pitié de lui avec tous ce qu'il a vécut. Il n'accepte même pas que Lisbonne le prenne en pitié et le lui dit souvent. Mais avec toi il sentait que tu voulais plus l'aider que autre chose et c'est pourquoi il ne gêna pas pour t'expliquer ce qu'il s'était réellement passé. Après tout tu as le droit de savoir ,surtout si vous devait faire un bout de chemin ensemble.

Laisser la justice s'en charger?? Pour Patrick il en tait hors de question. Il voulait faire souffrir cet homme tout comme il avait fait souffrir sa famille. Il veut le voir lui demander pardon d'avoir enlevait la vie à sa fille et à sa femme. Elle n'était qu'une enfant et pour lui se tueur n'avait aucun droit de tuer une vie innocente. enfin deux ,car même sa femme n'était pas au courant de l'histoire qui s'est passé. C'est vrai qu'il l'avait cherché mais il aurait pu le tué lui et non deux innocentes. Il ne sait trop quel serait sa réaction si tu viendrais à soigner l'homme qu'il aurait blessé mais il ne t'en voudra sans doute pas car il sait que s'est ton travail de soigner les gens peut importe ce qu'ils ont fait. Il t'écouta parler avant de secouer doucement la tête en disant:

- Si, j'aurais dus les mettre à l'abri quand il en était encore temps. J'aurais pu prévenir les flics car il m'avait déjà menacé. J'ai juste pas voulu effrayer ma femme et ma fille en leurs racontant l'histoire. J'a étais stupide et elles ont payé le prix de ma stupidité. Laisser la loi faire?? en temps normal j'aurais dit oui mais là non! Cet homme ne mérite pas qu'on l'entretienne en prison ,il mérite vraiment de mourir et je le tuerais moi même si il le faut.Lisbonne ne me fera pas aller en taule ,si j'y vais ça sera juste pour un.. Légitime défense ,le jour ou j'arrive à l'avoir c'est qu'il aura essayé de me tuer et je l'aurais tué avant. Je suis pas violent mais lui il le mérite!!

Je ne suis pas sur que Patrick accepterait aussi facilement ton aide. C'est gentil de vouloir l'aider mais il ne voudrais pas te mettre en danger. Il à déjà perdu deux personne qu'il aimai alors si il venait à t'arriver quelques chose il ne le supporterait pas. Au contraire il fera tous pour t'écarter du danger ,il ne refera pas la même connerie que la première c'est sure. Il sait que la prison c'est pas vraiment l'endroit idéal pour lui ,surtout que la moitié des prisonniers c'est lui qui les as enfermés. Mais si il doit y aller il ne le regrettera pas car il aura fait ce qu'il fait. Le seul truc qu'il regrettera c'est de ne plus te voir. Un léger sourire à ce que tu dis il fit:

- D'accord ,merci d'être là si j'en ai besoin. Mais je ne viendrais pas vous ennuyer de la nuit ça c'est sure. J'ai su supporter mon mal jusqu'à maintenant et je continuerais à le faire. Si un jour je viens à vous appelez ou à venir vous voir se ne sera pas pour parler de ça mais pour savoir comment vous allez. Mais je suis fou et ça vous l'apprendrez avec le temps..Mais je vous rassure ,je suis un fou gentil vous pouvez demander à Lisbonne elle ne vous dira pas le contraire.

Il fit un léger sourire après sa phrase. C'est vrai que quand le chagrin devient trop lourd à porter c'est dure de ne pas se confier. C'est exactement ce que Patrick avait eu besoin de faire aujourd'hui. Il la regarda alors lui disant que sont geste n'avait pas était déplacer et dans un sourire il fit:

- ça aurait été déplacé si m'auriez giflé.

Il se mit à rire avant de la suivre dans l'autre rayon. Arriver dans le rayon Crèmerie ,il l'attrapa par le bras et lui demanda de dîner avec lui se soir. ça leurs permettrais de mieux se connaître. Il sait que la jeune femme ne dira pas non et d'ailleurs il en est déjà ravi. Lorsqu'elle accepta il fit un plus grand sourire en disant:

- Je passe vous cherchez chez vous vers 19 h 00 ça vous va?? Et oui tutoyons nous ça sera mieux pour passer la soirée ensemble. Merci d'avoir accepté.

Isabel aimait son boulot malgré les points négatifs ; les horaires surtout, mais il y avait la mort, la souffrance. Les heures passées au bloc aussi pouvaient être dure, une opération pouvait durée entre 1h et 12h. Et franchement 12h ce n'est pas facile de tenir sans manger, boire, aller aux toilettes. Mais les heures passent assez vite lorsqu'on tente de sauver une vie. Selon les blessures Isabel savait plus ou moins combien de temps elle restait au bloc. Mais parfois ça pouvait prendre plus de temps que prévu. Parfois ça durait moins de temps, si la personne venait à mourir.

Certes elle travaillait avec des enfants, mais pas avec les bébés, ce n'était pas sa spécialisation. Quoique une fois elle avait du recoudre le bras d'un bébé qu'une mère avait coupé selon elle, s'en faire exprès... Le plus jeune patient qu'elle avait eu au bloc, avait 7 ans. Par contre une fois, elle a accompagnée pendant quelques heures un enfant de 4 ans, ses parents avaient été victime d'un accident de voiture, ils étaient blessé, et pendant quelques heures, le temps que le parrain vienne le chercher, elle était resté avec. Mais les patients les plus fréquents c'était les adultes, voir même des personnes plus âgées.

Elle se doutait qu'il savait pour sa sœur, mais ça ne le faisait pas fuir. Faisait-il partie des gens qui s'en fichait d'avoir dans sa belle-famille une personne homosexuelle? Des gens aussi qui pensent que le bonheur est le plus important même si c'est un couple de même sexe? Elle avait un peu d'espoir.

Depuis le début il souriait, Isabel oubliait quelque peu sa solitude. Cela lui faisait du bien de voir des personnes en bonne santé qui sourit. Cela change des patients, et de leur famille. Il l'écouta parler, puis prit la parole.

Elle le regarda dans les yeux quand il lui dit qu'il savait déjà assez bien de chose sur elle, et lui ne voulait pas en savoir plus en lisant en elle, elle voulait qu'elle lui parle pour se connaître. Il ne voulait plus être mentalist avec elle, elle méritait bien plus qu'une simple lecture, ça la fit rougir. Mais très vite elle se reprit quand il dit qu'elle avait raison, qu'il était fatigué, et quand il parla de ses nuits perturbées, elle savait que c'était du à des cauchemars. Elle lui dit d'une voix douce :

Ah oui? Mais je ne sais pas quoi vous dire de plus J'ai des secrets de famille comme tout le monde. Mais j'ai pas envie de vous ennuyer avec ça. Je comprends ça ne doit pas être facile de dormir lorsqu'on voit des scènes comme celle que vous avez vécu. J'espère que ça passera car je ne tiens pas à vous voir malade dans l'hôpital. En plus vu qu'on se connait c'est pas sur que la directrice générale acceptera que je vous soigne... Il me faudra des autorisations. Mais ça ne m'empêchera d'être près de vous "

Ben oui, un médecin ne pouvait pas soigner quelqu'un de sa famille, ni même un ami. Car ça risquait de compromettre le jugement médical et le diagnostic. Mais elle resterait toujours au près de lui, pour surveiller aussi son équipe. Il rigola à ses paroles, avant de dire que c'était l'inverse de vous. Elle râlait et c'était souvent lui qui faisait changer d'humeur. Elle sourit quand il dit que ça dépendait des jours. Mais souvent ses collègues disait que c'était lui qui tapait sur son système. Elle lui dit doucement :

Ah oui... Je n'aimerai pas spécialement l'avoir comme chef. Je suis certaine que non ce n'est pas vous. Ils sont pas bien vos collègues ! Vous êtes quelqu'un de bien, pas chiant du tout. Merci, sans problème je ne dirai pas ça, car on en a, surtout quand un collègue voulait notre place. Et qu'il vous fait comprendre qu'il vous en veut toujours pour ça. Je suis certaine que vous êtes quelqu'un de bien. Je suis chiante et râleuse aussi ne vous inquiéter pas et je suis fière aussi de l'être.

Pour Isabel ce n'était pas de la pitié qu'elle ressentait loin de là. Elle savait qu'il s'était battu pour que les autres n'ait pas pitié de lui. Et Isabel le respectait. Elle n'aurait surement pas ce courage là si elle venait à perdre quelqu'un de sa famille. D'ailleurs si elle avait su plus tôt pour sa soeur qu'elle s'était fait enlevé jeune, elle ne se serait pas battue, pour vivre. Mais là elle ne connaissait pas cette soeur. Donc ce n'était pas la même chose. Vu qu'il lui racontait tout ça, elle se demandait si elle devait lui parler de sa demi-sœur ? Oui elle devrait mais comment? et quand ? Elle préféra se taire pour le moment, elle en discuterait peut-être ce soir avec lui.

Isabel comprenait qu'il voulait venger sa femme mais était ce la meilleure solution? Il devait laisser la justice faire, mais il faisait un peu partie de la justice vu qu'il était policier, mais ça devait être comme les médecins, s'ils connaissaient la victime, ou l'assassin présumé. Isabel avait le même point de vue que Patrick. Il n'avait pas le droit à la liberté, il devait mourir, il n'avait pas le droit de tuer deux innocentes. mais c'était à la justice de s'en charger. Il aurait la peine de mort. Donc il mourra bientôt.

Isabel devait le soigner s'il venait à arriver aux urgences, elle n'aurait pas le choix. En plus ce ne serait pas la première fois qu'elle soigne un prisonnier, et un assassin. Car oui elle avait du opéré un violeur dont la victime n'avait que 5 ans, et l'assassin avait tué son enfant. Elle n'avait pas le choix, mais là elle dira surement qu'elle est incapable de s'en occuper. Qu'elle est bien trop proche d'une certaine façon du patient, et qu'elle se sent incapable de le soigner. Mais qu'elle peut rester pour regarder. Elle comprit alors qu'il était très têtu !!!! pour Isabel il était coupable de rien. Elle l'écouta, elle comprenait pourquoi il n'en avait pas parler. Et pourquoi il n'avait pas mit une protection. Cela faisait quand même peur à Isabel, elle ne voulait pas perdre le jeune homme, elle l'aimait. Elle remit sa main sur sa joue et lui caressa encore. Elle le regarda dans le blanc des yeux.

"Vous auriez peut-être du, mais vous les aurez effrayer. Et effrayer la petite à son âge c'était pas bon. Vous n'êtes pas stupide, vous avez cru prendre la bonne décision. Oui laissé la loi faire. Il ne vivra pas longtemps, il aura la peine de mort. Une patiente est juge. Elle m'a dit que les meurtriers ainsi c'était la peine de mort qu'il avait. Il mourra. si vous le dites... Vous êtes assez têtu... Je ne vous ferai pas changer d'avis. Mais moi aussi je le suis, et je vais faire une promesse celle d'aider à retrouver ce type. Comment je ne sais pas.

Isabel voulait aider, mais elle était sur qu'il refuserait son aide. Pas qu'il veut travailler en solo, mais par protection s'il venait à sortir ensembles. Si elle devenait sa petite amie, il pourrait s'attaquer à elle, et Patrick ne ferait pas la même bêtise deux fois dans sa vie. Et si elle l'aidait simplement en amitié, il refuserait surement de peur qu'il s'attaque à elle. Puis Isabel s'inquiétait, il était en danger lui aussi, et en prison, il risquait surement gros, vu qu'il avait du mettre des prisonniers et qu'ils voulaient une chose : une vengeance. si on le mettait en taule, c'était le mettre comme dans la gueule du loup.

"De rien. D'accord c'est comme vous voulez. Moi ça va toujours bien, c'est rare quand je suis malade, quoique même malade je le cache, et je sors. Je suis certaine que vous n'êtes pas fou, et un ami psychiatre me dit qu'on est tous fous. Je n'ai pas besoin de demander, je ne vous crois pas."

Dit elle en souriant, elle ne le croyait pas qu'il était fou, mais elle savait qu'il était un gentil. Et même fou, il le serait. Isabel était soulagée qu'il se soit confier à elle, il en avait eu besoin, on ne peut pas garder tout pour soi, c'est pas bon. Il la regarda et dit que ça aurait été déplacé si elle l'aurait giflé? Elle enleva sa main de sa joue, et dit :

"Giflé? Pourquoi j'aurai fait ça? Je ne suis pas quelqu'un de violente. Puis je ne l'aurai pas fait en public "

Ils se mirent à rire avant de se suivre dans l'autre rayon. Il lui fit sa demande et elle accepta d'aller manger avec lui. Isabel se maquillerait un peu, mettrait une robe noir, et attacherait ses cheveux. Elle savait donc comment elle sera habillée. Il sourit à sa réponse positive. Il lui dit alors qu'il passerait vers 19h00 si ça lui convenait, puis il était d'accord qu'ils se tutoient, elle sourit puis dit :

"Ok... 19h oui ça me va par contre je ne sais pas si je pourrai attendre jusque là tu me manqueras jusque là. De rien Patrick."

Elle ne voulait pas lui mentir, de toute façon il le verrait si c'était le cas...

Quand on y pense il y'a plus de points négatif que positif dans le boulot de médecin mais heureusement qu'il y'a des gens assez solide pour exercer ce boulot ,car c'est souvent grâce à eux si on reste en vie plus d'une soixantaine d'année. On à toujours besoin d'un médecin ,que se soit pour une maladie ,un accident ou un simple renseignements. Les médecin sont important dans notre vie de tout les jours et se n'est pas Patrick qui va dire le contraire. Il sait au combien ils sont important pour les habitants de la villes et ça il le sait depuis l'accident qu'il a eu. Sans le médecin qu'il la soigné il en serait surement mort.

Etre médecin s'était déjà dure mais devoir opéré de si petits enfants doit être encore plus difficile. La fille de Patrick avait eu besoin de soin à sa naissance car elle est née beaucoup plus tôt que prévue et durant sont séjour à l'hôpital Patrick n'a cassé de remercier les médecins de lui avoir sauvé la vie. Quoi que maintenant quand il y repense il se dit que peut être il aurait fallu que la petite ne survivent pas dés sa naissance qu'elle aurait s'en doute moins souffert. Il s'en veut même de penser de pareil chose ,car il ne regrette en rien les moments passé avec sa fille ,loin de là.

Oui ,il fait partie de ces gens qui pense que l'amour c'est avant tout le bonheur. Il n'a jamais critiqué les homo et il ne le fera jamais car ce n'est pas sont genre. Certes lui il aime les femmes mais il peut comprendre que certains homme préfères les hommes. ça ne le choc pas plus que ça.

A ses côtés il ne pouvait faire autrement que de sourire. La jeune femme lui donner l'envie d'être heureux ne fus que pour quelque minutes ou quelque heures. Même avec Lisbonne il ne sourit pas autant même si il sourit déjà pas mal avec sa patronne quand même. Mais ses sourire sont différents ici et avec ses collègue.

Il la regarda toujours avec sont magnifique sourire lui disant qu'elle mérite bien plus qu'une simple lecture de pensé et sourit bien plus en voyant cet dernière se mettre à rougir. Il se mis alors à se pincer doucement la lèvre inférieur entre les dents avant de regarder cet dernière droit dans les yeux à ce qu'elle lui répond. Secouant alors la tête il fit:

- Pas besoin de me le dire. Je le vois parfaitement et je sais qu'il y'a un de vos secret qui ne vous laisse pas indifférente. Vous pensez qu'en me le disant ça va me faire fuir. Si ça peut vous rassurer il me faut bien plus que ça pour me faire fuir. Je sais ce qu'est votre soeur et je ne la juge pas. Elle est heureuse?? si oui tant mieux pour elle ,si elle est comme vous elle mérite amplement le bonheur qu'elle a. J'espère aussi que ça passera car je n'aime pas de trop les hôpitaux. Mais bon je ne m'en fais pas au pire je prendrais des somnifère. Si ça venait à m'arriver on fera semblant de ne pas se connaître ainsi vous pourrez prendre soin de moi.

Un peu comme un un policier qui n'a pas le droit d'enquêter sur l'affaire de quelqu'un de sa famille ou d'un ami. C'est sans doute mieux ainsi au moins il n'y a pas de faux jugement ou de fausses idées et les enquêtes se font mieux. Pour les médecin c'est pareil c'est pas évident de soigner un de sa famille et c''est mieux de l'en écarter afin de mieux soigner le malade. Continuant de rire à sa réponse il secoue doucement la tête. C'est vrai que quand il s'y mettait il était chiant et il sait très bien qu'il peut être très chiant quand il veut.

- Elle est sympa quand on la connait ,on ne dirait pas comme ça mais c'est quelqu'un d'assez gentil ,elle fait juste sont boulot comme il faut et c'est vrai que des fois il faux m'arrêter car j'en fait pas mal des conneries. Je fais même beaucoup de connerie pendant les enquêtes mais en même temps mais conneries me permettent de découvrir des indices. Mais j'avoue que ça ne doit pas être évident pour elle de rattraper mes erreurs quand je fais de trop grosse connerie. Ah ben dans ce cas nous sommes deux chiant. On devrait bien s'entendre alors tout les deux!

Dans tes regards et dans tes gestes il pouvait ressentir que ce que tu ressentais pour lui en cet instant avec tous ce qu'il venait de te raconter n'est as de la pitié mais plus du réconfort. C'est justement ce genre de réconfort dont il a besoin. Si ça avait été de la pitié qu'elle aurait ressenti pour lui il serait parti. Il ne supporte vraiment qu'on le plaigne même si avec tous ce qu'il à vécut il à le droit de se plaindre lui ne le fait pas. Il veut rester fort jusqu'au bout afin de pouvoir attraper le sale type qui à fait ça à sa famille. Bien qu'il lit en toi il n'a pas encore lu cet partie là de ton histoire. Peut être en effet que c'est mieux que tu lui apprenne toi même. En cet instant il est bien trop occupé à t'admirer qu'il ne prend même plus le tic de lire en toi.

Patrick ne veut pas la peine de mort pour ce type. il trouve que la peine de mort est encore une trop belle mort pour ce genre de type. Il mérite surtout de souffrir comme il a fait souffrir la famille de Patrick mais aussi plein d'autre personne. Il mérite de mourir à petit feu et de subir bien des supplice avant de rendre l'âme. Mal grès le faite qu'il pense que l'homme doit souffrir il ne sait trop si il sera capable de le faire souffrir ainsi ou bien si il préféra d'en finir une fois pour toute en le tuant directement. ça seul l'avenir nous le dira.

C'est encore un des défaut de la médecine. Il faut être solide pour être capable de soigner un tueur ou bien un violeur d'enfant. Patrick lui serait plutôt du genre à achever la personne si il venait à apprendre que la personne a fait un truc de mal. Il n'est vraiment pas fait pour être médecin ça c'est sure. Il peut avoir beaucoup de remord pour certains trucs mais il peut aussi s'avérer être un homme sans coeur quand il le faut. C'est un peu comme une double personnalité qui passe de l'agneau au loup. Il ferma les yeux au contact de ta mains sur sont visage et l'es ré ouvris ensuite doucement en regardant cet dernière droit dans les yeux à ce qu'elle dit. Il fini par secouer la tête en disant:

- Pas spécialement prévenir la petite mais au moins ma femme .. Elle aurait pu se défendre ,avoir une arme sur elle ou autre chose.. J'aime pas la loi et je ne veux pas qu'il meurt sur la chaise électrique. Je veux qu'il meurt sous mes yeux en souffrant bien comme j'ai souffert. Je veux que ses dernières second à vivre soit les plus pire que toute sa vie!! Oui je suis têtue et je ne change jamais d'avis quand j'ai une idée en tête. Non!! non ,je ne veut pas que vous m'aidiez à attraper ce type! Je veux que vous restez bien en dehors de ça ,d'accord??

Il ne lui parle pas méchamment mais il veut qu'elle comprenne qu'il ne rigole avec ce sujet là et il ne veut pas non plus qu'il lui arrive quelque chose par ce qu'elle a voulu l'aider. Il ne veut pas remettre de nouveau quelqu'un en danger comme il l'a fait dan,s le passé. Savoir que le tueur pourrais s'en prendre à elle ou bien à Lisbonne lui fou la chair de poule. C'est vrai que si il va en taule il risque gros mais il préfère être en taule que de vivre ton enterrement ou bien celui de Lisbonne. Il ne supporterai pas du tout un autre décès ,surtout si prés de ceux de sa femme et sa fille. Il la regarde avec un léger sourire en disant:

- D'accord,mais je viendrais vérifier par moi même si vous allez bien. C'est vrai nous sommes tous fou et on se dit tous normaux c'est ça le pire. La perfection n’existe pas d'ou le faite d'être fou. Vous avez déjà rencontré un homme parfait??A part moi ,bien sure.

A sont à part moi ,il se met à rire car s'était pour rire ,il ne se trouvait pas parfait loin de là ,il savait qu'il avait énormément de défaut ,d'ailleurs il n'aurait pas de défaut se serait bizarre non?? C'est dans un sourire qu'il lui dit que ça aurait été déplacé si elle l'avait giflé.

- Je sais que vous n'êtes pas violente ,vous avez l'air d'une femme très très calme ,mais mal grès tout je sais aussi qu'il ne faut pas vous cherchez car vous savez très bien vous défendre ,je me trompe?

Voilà qu'il recommence à refaire sont numéro de mentalist. C'est vraiment plus fort que lui mais en même temps ça lui permet d'en apprendre un peu plus sur la jeune femme. Il l'invita donc à dîner se soir. Il ne sait trop ce qu'il va porter mais il trouvera bien quelque chose dans tous les vêtements qu'il a. Il regarda alors la jeune femme dans un sourire tendre à ce qu'elle dit et déposa un doux baiser sur sa joue en disant:

- C'est vrai?? Tu sais quoi? Toi aussi tu va me manquer d'ici là mais on se rattrapera se soir ça te va??

Oui il l'aurait tout de suite vu. Il la regarde d'un magnifique sourire la lâchant alors avant de se remettre derrière sont caddie.

Pour les personnes extérieur qui faisaient un autre métier que médecins, le travail comportait plus de points négatifs. Isabel comprenait leur point de vue, mais voir un patient se battre pour survivre et/ou guérir d'un grave accident ça faisait oublié tout point négatif. En tout cas c'était ce que pensait Isabel. Mais bon parfois, les médecins pouvaient se battre pendant des heures, puis qu'il ait une complication et qu'en salle de réveil ou en chambre et que le patient meurt. Certes c'était un point négatif. Mais les médecins se consolaient un peu en disant qu'ils avaient tout leur possible pour qu'il survive. Les médecins se montrent durs mais finalement eux aussi sont humains, ils ne montrent pas facilement leurs émotions, mais ce n'est pas pour ça qu'ils ne ressentent rien. Certains cas les touchaient beaucoup plus que d'autres. Isabel quand elle pouvait donner un patient bébé ou en bas âge, elle le faisait.

Les médecins étaient des gens importants dans la vie des habitants, car sans eux, les gens décèderaient bien plus facilement d'une maladie, d'un accident. puis il pouvait renseigner les habitants. Bref une vie n'était pas possible sans médecin, comme une vie était impossible sans policiers, gendarmes, experts, ... Ce serait le bordel sans une autorité...

Isabel ne savait pas que sa petite fille à Patrick avait eu besoin de beaucoup de soins à la naissance car elle était née prématurément. Isabel avait des échos des différents services, car elle pouvait travailler en partenariat avec tous, mais ceux avec qui elle travaillait beaucoup moins c'était la pédiatrie, la pédopsychiatrie, la néonatale, bref ce qui touchaient les enfants.

Aux cotés d'Isabel, il ne faisait que sourire, la jeune femme le remarquait. Peut-être ressentait il la même chose qu'elle ? Mais surement que non avec ce qu'il avait vécu. Elle comprenait qu'il ne veuille pas avoir une relation sérieuse après le décès de deux proches. Cela la rendait triste mais elle comprenait. Beaucoup de ses patients étaient ainsi. Il perdait l'autre dans un accident, et ne voulait plus se remettre avec quelqu'un. Il restait fidèle à leur premier amour. Pourtant Isabel voyait bien certains signes qui ne trompaient certainement pas, et encore plus lorsqu'il se pinça la lèvre. Cela la fit sourire, il la regarda droit dans les yeux en lui parlant.

Selon lui, il n'y avait pas besoin de lui dire, il voyait parfaitement son secret qui ne la laissait pas indifférente, elle était mal à l'aise. Il vit encore juste quand il dit que son secret allait le faire fuir si elle lui en parlait. Il fallait bien plus que ça pour le faire fuir. Il disait qu'il savait ce qu'était sa sœur, mais qu'elle ne la jugeait pas. Elle sourit et lui répondit alors :

J'ai un secret qui me mets assez mal à l'aise, et je préfère vous en parler, de toute façon, vous le saurez tôt ou tard... Je ne sais pas comment vous le dire, mais depuis que je vous ai rencontré tout à l'heure, je ressens quelque chose, et je sais bien que ce n'est pas que de l'amitié Excusez moi, c'était déplacé... Je ne sais pas ce qui m'a prit. C'est vrai vous le savez. Oui elle est heureuse, ça me rassure que vous ne la juger pas. Prendre trop de somnifère n'est pas bon Patrick, après vous ne pourrez plus vous en passer. Oui on fera semblant c'est le mieux qu'on puisse faire..."

Les médecins c'était comme les policiers, ils pouvaient soigner ou intervenir sur une scène de crime tant qu'ils ne connaissaient pas la victime ce qui était tout à fait normal. Bon, ok parfois on a pas le choix, et quand c'est une petite opération, on peut opérer mais il faut l'autorisation de la direction et du collège des médecin. Il continua à rire de sa réponse, en secourant doucement la tête, selon lui il était tout de même chiant, mais Isabel ne le voyait pas du tout ainsi. L'amour rendait aveugle bien souvent !

Il parlait de sa patronne disant qu'elle était sympa lorsqu'on la connaissait. C'était une personne assez gentille mais on ne dirait pas quand on la voyait. Isabel se reconnaissait en elle, mais elle ne dit rien. Elle faisait juste son boulot, et elle le faisait bien. Puis lui disait que des fois il fallait l'arrêter, car des conneries il en faisait, elle rigola un peu. Même si elle ne le croyait pas tellement. Elle sourit et rigola un peu plus à sa dernière phrase.[/i]

D'accord. Vous n'êtes pas tellement facile alors sur votre lieux de travail. Elle a du courage et du mérite si elle doit rattraper vos erreurs. Je vous dis ça, mais je n'y crois pas que vous faites des erreurs et des conneries. Oui on est fait pour bien s'entendre et peut-être vivre ensembles... Quoique deux chiants dans la même pièce ça va pas péter des flammes entre les deux ?"

Dans tous les gestes et dans les regards qu'elle faisait il pouvait ressentir ce qu'elle ressentait pour lui comme sentiment. Mais malgré ce qu'il lui avait dit, elle essayait d'être le plus empathique possible. Isabel ne ressentait pas de la pitié pour lui, elle voulait juste le réconforter, même si d'un coté, ses paroles étaient un peu déplacée. Bien qu'il lit en elle, il y à certaine chose qu'elle ne montre pas, ou qu'elle ne pense tout simplement pas, ou alors lui est il occupé à faire quelque chose d'autre ? qu'à lire en elle...

Isabel essayait de lui faire changer d'avis sur la peine de mort qu'on pourrait donné à cette personne qui a tué sa famille. Elle comprenait son point de vue, de vouloir le tuer, mais la violence ne servait pas à grand chose, sauf à envenimer les choses.

Isabel n'avait pas le choix, elle devait soigner tout le monde aussi bien les gentils que les méchants. C'était leur job. Ok parfois ce n'était pas facile, mais elle n'avait pas le choix, surtout si les urgentistes laissaient le choix au premier traumatologue qu'ils trouvaient. Les autres fois c'est ce qu'ils s'étaient passé, elle n'avait pas pu choisir... Elle n'aurait jamais prit un type ainsi si elle avait eu le choix. Enfin bref, elle l'avait sauvé, mais il était mort quelques temps, le gardien de prison l'avait achevé en l'étouffant avec un article de journal.

C'est alors qu'elle remit sa main sur sa joue, et à ce deuxième contact il ferma les yeux et les ré ouvrit quelques minutes après. Il la regarda encore dans les yeux, et parla du jour de la tuerie, et des jours qui ont précédé la triste histoire. Il ne voulait pas spécialement prévenir la fillette mais au moins prévenir sa femme. Elle aurait pu se défendre avec une arme. Elle le regarda et lui dit :

"Vous savez les enfants comprennent vite qu'il se passe quelque chose de grave. Elle aurait comprit en voyant les policiers, puis avoir une arme à la maison avec une enfant de 6 ans dans les parages, c'est pas une très bonne idée, j'aurai peur que la petite la trouve et joue avec. Il faut pourtant faire confiance à la loi Patrick. C'est le meilleur choix qu'on puisse faire. Je crois qu'on va arrêter de parler de loi, car ça vous énerve, et moi aussi changeons de sujet. Moi aussi je suis têtue et je ne change jamais d'avis. Alors oui je vous aiderai à attraper ce sale type. Et non je ne resterai pas en dehors ça. Je vous aiderai quoi que vous dites. Et je peux me défendre, je ne suis pas quelqu'un de faible."

Il ne lui parlais pas méchamment, il voulait simplement qu'elle comprenne qu'il ne rigolait pas avec ça et qu'il ne voulait que la protéger. Il ne voulait pas la mettre en danger, mais elle ne le sera pas, car elle sait se défendre et elle n'en voudra pas à Patrick car ce n'est pas de sa faute. C'est elle qui prend la décision de vouloir l'aider malgré son refus, elle était tellement têtue parfois qu'elle n'écoutait personne, même pas son meilleur ami ou sa sœur. Mais si elle venait à mourir, ce qui n'arrivera pas, il préfèrera être en prison que en dehors et de devoir revivre le même cauchemar. Il la regarda encore en souriant, il reprit encore la parole, il voulait vérifier par lui même qu'elle allait bien. Il était tout de même d'accord avec son point de vue, qu'on était tous fous et qu'on se disait "normaux". Elle sourit et rigola à sa dernière phrase, elle lui dit après s'être un peu parler :

Ok pas de problème si ça peut vous rassurer. euh non j'en ai jamais rencontrer... Sauf maintenant..."

Il rigola aussi car lui aussi n'était pas parfait. Quand elle dit "sauf maintenant" pour avoir rencontrer l'homme parfait, elle rigolait aussi. Isabel n'était pas parfaite loin de là. C'est alors qu'il lui dit qu'elle n'était pas violente, qu'elle avait l'air du femme qui était très, très calme mais qui ne faut pas chercher car elle savait se défendre. Elle sourit et dit :

Vous, vous trompez pas, c'est tout à fait ça, c'est pour ça aussi que je veux vous aider pour retrouver le fumier qui vous a fait souffrir."

Il refaisait son mentaliste ce qui la fit rire, ça ne la dérangeait plus maintenant, ça lui faisait même rire. Il l'invita ce soir au restaurant, ce qu'elle accepta, elle était en amour avec cet homme, elle n'allait pas dire non à une invitation de sa part. Il la regarda en souriant puis l'embrassa sur sa joue, elle rougit, et sentit un pincement au cœur, elle sentait son cœur battre la chamade en ce moment... C'est alors qu'il lui demanda si c'était vrai, puis il lui posa des question et lui avoua qu'elle allait lui manquer d'ici là, elle rougit encore plus. Elle lui dit :

Oui c'est vrai, quoi ? c'est vrai aussi ? Oui je suis d'accord Patrick. Et à 100%"

Dit elle en souriant, lui aussi la regarda, il la lâcha et se remit derrière son caddie. Elle était déçue qu'il la lâche, elle aimait bien son contact. Elle continua ses quelques courses

Topic terminé

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